dimanche 21 mars 2010

Au boulot...

Le Festival International du Film sur l'Art a commencé, il y a maintenant trois jours. J'y ai commencé mon bénévolat depuis trois semaines, mais je ne vais pas vous parler de ça maintenant. Moi qui avais dit que je ne ferai que de brèves interventions...
Mais n'ayant pas d'appareil photo pour le moment je vais devoir vous conter ma fabuleuse fin de semaine, du latin fabulosus... renvoyant aux mythes et légendes. Je commencerai par vendredi.
Avant cela, je dois vous informer, qu'un de mes colocs nommé Jef (c'est plus court) bosse dans une cooperative de plein air. Donc, avec un ami nommé Simon, nous sommes allés dans cette coopérative pour noter les références de matériels utiles à la randonnée. Il faut souligner qu'avant d'y arriver nous avons bien mis 1h alors que Jef met 3/4 d'heure. Imaginez une ligne droite, a gauche le point d'arrivée, à droite le point de départ. Pour effectuer cette ligne, il est normal de mettre 3/4 d'heure, et bien, sur cette ligne ajoutez un point à l'exact milieu. Je suis avec mon compagnon de route parti de ce point là... Et ce n'est que l'aller. Le retour en bus fut presque trop facile. Mais la fatigue commencait à s'accumuler, et si on ajoute mes heures de bénévolats dans l'après-midi, ma santé psychique et la faim finissaient de me ronger. Heureusement chez Simon, il me restait une part du repas du midi que je n'avais pas terminé, de délicieuses falafels... Ce plat que j'attendais me permit de tenir jusqu'au bout. Tenez-vous bien, ceci n'est que le début d'une très longue nuit. Car après ce long périple, nous allions festoyer à une party pour les bénévoles qui avaient participés au Festival des Rendez-Vous du Cinéma Québécois. Je ne vous cacherai pas qu'avec les liqueurs et boissons de toutes sortes, ce fut un désastre pour le serveur qui était je pense le plus atteint. Rassurez-vous, j'ai bien participé à sa débacle. C'est pas tous les jours qu'on peut festoyer sans dépenser un sou (on dit sou ici). Mais pareil avant d'y arriver, nous pauvres malheureux avons du bien marcher. Le retour fut tout aussi laborieux, de gai-lurons s'amusant à nous indiquer la mauvaise route.
La récompense bien que tardive (pour x raisons) arriva le lendemain. Une omelette à la feta, que du bonheur...

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