mardi 14 août 2012

Good morning le Québeeeeeec !

Un mois, c'est tout ce que j'ai droit. C'est quand même pas mal. Cinq semaines de congés payés, j'en profite et je déguerpis pour retrouver une terre que j'avais quitté il y a quasiment un an jour pour jour. J'écris de la ville de Québec, en attendant de connaître mon sort. Demain, j'ai rendez-vous au consulat pour récupérer un laissez-passer pour m'en retourner en France, faute au passeport que j'ai laissé choir quelque part entre Montréal et l'Anse-au-Griffon. J'ai perdu mon passeport. Un signe pour rester ici, vraisemblablement. Mais je préfererai prendre cette décision de manière disons... plus sereine. C'est pas le mot que je cherchais, mais n'étant pas encore trop serein quant au rendez-vous de demain au consulat, on usera de ce mot. Je n'ai pas d'appareil photo, mais comme je suis sympa et aventurier je retourne dans les mêmes lieux que l'année dernière, eh eh y'en à la là-dedans. Bref historique de ces premiers jours, Montréal, Gaspésie en auto-bus roulant à l'huile végétale pour la tournée du Cyclope Tour. Allez faire un tour sur cyclopetour.blogspot.com et vimeo.com/32537797. On peut apprécier le super référencement du projet sur Google. Nous sommes passés avec le Cyclope par chez Diane, et ses jardins gaspésiens, incontournable pour moi et mes accolytes. Puis nous avons rencontrés les charmants habitants d'un éco-hameau à Cap-au-renard, ici aussi petite projection, les sentiers de l'utopie que vous pouvez aussi trouver avec google. Et petit passage chez des amis de Fernando, avant mon arrivée à Baie-Saint-Paul. Tout ça en déjà presque 15 jours, suffisant pour perdre un passeport et peut-être scraper le reste du voyage... Scraper synonyme de rendre difficile un voyage agréable et riche en beaux et bons moments, en gros tout niquer... Nan pour rassurer le brother qui me rejoint, demain je vais au consulat, il y aura peut-être une petite cour sympa pour poser un barbecue, je te tiens au jus bud ! Ces vacances malgré ce petit détour font un bien fou, je le savais avant de partir. Je vais continuer de profiter de tout ça. Zoubi